Vendredi 7 janvier 5 07 /01 /Jan 12:04

Pianiste de formation, c'est naturellement que je fus sollicité par mon prof de musique pour animer la choral du lycée. Une formation d'une quinzaine de jeunes filles de mon âge prêtes à pousser les vocalises sur des oeuvres sacrées.

Dans la formation j'ai remarqué tout de suite Aurélie qui se détachait du groupe par de petites ondulations du bassin quand elle chantait. De plus sa tenue m'excitait, habillée en pantalon de cuir super moulant et une veste de la même matière et perchée sur des haut talons noirs.

Le groupe est dirigé par madame Rochenbon, une bonne grosse dame habillée en longue robe rouge et dirigeant d'une main légère la répétition du magnificat de Bach. C'est à ce moment là que j'entre pour me présenter :

- Bonjour je suis le nouveau pianiste en remplacement de monsieur Duyriez parti à la retraite le mois dernier...

Madame Rochenbon s'arrête et fait taire son Coeur pour me fusiller du regard en maugréant :

- "Première chose à savoir jeune homme on n'interrompt pas une chorale qui répète, intallez-vous près de l'orgue et attendez que l'on finisse SVP"

Hum la première prise de contact ne commençait pas de la meilleure façon, et tandis que le groupe reprend son travail à la mesure 34, je me dirige vers l'orgue et m'installe sur le banc. Par malchance il était déjà allumé et quand je me suis installé dessus mon pied a appuyé sur une basse du pédalier envoyant un miiiiiiiiiiiiiiiiiiiii grave dans toute la chapelle.

Là, la chef de coeur me fusille du regard et reprend pour la deuxième fois à la mesure 34 du morceau. Pendant cette reprise Aurélie se retourne pour m'envoyer un petit sourire contrastant avec les ricanement de ses consoeurs qui se foutaient ouvertement de ma maladresse. Je lui rends son sourire et plonge mon regard dans la pile de partitions laissée par mon prédécesseur avec un petit mot placé au-dessus : "Bon courage !"

La Chapelle date de 1910, et à l'époque les architectes avaient vu grand pour cette bâtisse, car elle pouvait contenir une centaine de personnes facilement, le seul problème c'était l'écho et je n'avais pas l'habitude de jouer un peu en avance pour que le groupe vocal que j'accompagne et qui se trouve près de l'autel, puisse être calé sur la musique. Donc, le temps que je m'habitue à cette pratique, la chef de coeur décida qu'elle ferait ses premières répétitions près de moi avec son groupe. 

Et me voilà entouré d'une quinzaines de jeunes filles, jolies et parfumées, dévoilant leur organe autour de moi : j'étais aux anges. Comme Aurélie était la plus grande du groupe elle fut mise en arrière à gauche de l'orgue. Monsieur Duvriez m'avait laissé des tonnes de patitions qui s'empilaient de façon instable autour de l'instrument, mais comme la chaire  ne faisait pas plus de cinquante mètres carrés, il avait tout entreposé à gauche du clavier. Les plus hautes piles de partitions s'appuyaient le long de l'orgue, m'offrant la vision de longues colonnes de papiers tenant debout comme par miracle (normal non ?) en équilibre instable. Il n'y avait qu'un seul accéès pour ce clavier et c'était par les aigus, par le côté opposé c'était à nos risques et périls.

On n'avait pas commencé depuis dix minutes que Monsieur le proviseur nous ramena deux jumelles ; Annie et Marjorie qui voulaient s'initier au chant elles aussi. Là ce n'était plus possible on devait faire de la place. Il fut décidé de pousser les piles de partitions un peu plus vers le fond afin de faire de la place à ces deux nouvelles arrivantes. Aurélie recula et se trouva à gauche de mon clavier. J'eus de nouveau un petit sourire accompagné d'un clin d'oeil, puis on recommença la répétition. Là j'avais une super vue sur la jolie croupe d'Aurélie,  son pantalon moulait parfaitement le galbe de ses cuisses et l'on pouvait même voir la forme de sa chatte... j'étais aux anges !

Le choeur est composé de 3 voix en fonction de la tessiture des chanteuses et la répétition hebdomadaire était composée de deux étapes, la première tous ensemble, puis ensuite voix séparées. Madame Rochenbon commença à faire travailler les sopranos et je l'accompagnais de la main droite la première voix, pendant ce temps-là les autres restaient sur place et relisaient leur partition afin de parfaire leur parties mentalement.

Aurélie, au 3/4 cachée par l'énorme meuble de l'instrument et les piles de partitions, se rapprocha de moi, complètement oubliée par la chef de coeur concentrée à travailler avec les premiers rang, pour me sussurer à l'oreille :

- "Alors Maeva m'a raconté que pour un pianiste tu avait du doigté avec les filles ?"

Oups Maéva, ma voisine en cours de math avait craché le morceau. Elle n'avait pas résisté à raconter nos cochonneries à sa meilleure amie, et me voilà avec Aurélie qui rajoute :

- "Moi je ne la crois pas, je suis sure qu'elle se vante... je ne crois que ce que je vois et ce que je ..... sens"

Toujours entrain d'accompagner les premières voix à la main droite, je dirige ma main gauche le long de sa cuisse gainée de cuir noir en y pianotant des doigts tout en remontant vers l'intérieur des cuisses. J'arrive à sa chatte comprimée par le pantalon, un peu déçu du peu de sensation éprouvées, mais mon imagination débridée m'aidant chercha l'entrée du vagin en y pointant un index fourrageur et raide. Elle se cambra légèrement et je vis ses joues rosir : elle aimait cela, la garce.Puis ce fut au tour des 3e voix et je dus à regret utiliser ma main gauche pour les accompagner. Le reste de la répétition se termina normalement, soulagé moi aussi car ces évènement m'avaient passablement excité et j'approuvais une grande fatigue.La sonnerie retentie, le groupe et Aurélie se dispersa dans la cours et chacun rentra en classe.

 

Par Oasys - Publié dans : Les cours - Communauté : MultiCommunauté Porno-Sexe
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Jeudi 6 janvier 4 06 /01 /Jan 12:43

Ce cours pour rien au monde je le louperais. La première Madame Stawisky une trentenaire brune et élancée au visage fin et à la chevelure flamboyante, habillée souvent en tailleur Chanel et chemisier blanc qui cachait peu ses dessous affriolants de dentelles et de transparence. Bizarrement, c'est le cours qui compte le moins d'absence ... La deuxième c'est Virginie, une jeune fille d'un an de plus que moi ayant redoublé sa terminale. elle est très nature et bien dans ses baskets, et comme pour le cours de math, nous étions placés l'un à côté de l'autre...

Avec passion madame Stawisky nous enseignait cette matière avec nombreux détails et anecdotes qui nous aidaient à mieux retenir la leçon. Après son exposé, elle nous laissait chacun faire des recherches dans les bouquins en travaillant par binômes.

Après nous avoir donné les directives de recherche, elle nous laissa à notre travail en s'installant à son Bureau. Cette salle était équipée d'une estrade de cinquante centimètres de hauteur afin que ceux du fond puissent voir la prof pendant sa narration. 

Une simple table et une chaise y était entreposés pour le prof ainsi que son grand tableau noir derrière. Absorbée par son travail et rassurée par le doux brouhaha des futurs bacheliers travaillant sur le sujet, elle ne vit pas que deux boutons de son tailleur avaient sauté laissant apparaître le galbe d'une cuisse parfaite. Je reluquais depuis depuis quelques minutes ce délicieux spectacle quand elle décida à décroiser ses jambes, m'offrant un spectacle fugace d'un petit triangle blanc dans lequel se moulait une chatte parfaite. Mme Stawisky recroisa les jambes dans l'autre sens, me permettant d'admirer l'autre côté de sa superbe plastique.

Virginie me ramena à la réalité en me faisant remarquer que notre voisin d'en face s'était complètement rasé le crâne. Je lui fis remarquer que c'était moche, en plus le crâne était pourvu de petites coupures trahissant le passage d'un rasoir mal maitrisé ou très ancien. 

Je fit une grimace en murmurant :

- "C'est moche quand c'est tout rasé"

Virginie me rétorqua :

- "ça dépend quoi !"

me dit-elle avec un petit clin d'oeil. Je fut surpris par sa réponse pleine de sous-entendus, car depuis plus de six mois de cours d'histoire géo assis à côté d'elle, je n'avais rien tenté avec elle, respectant sa relation avec un élève de 2e année de BTS info.... hum... en plus, baraqué comme une armoire à glace. Mais elle enchaina en chuchotant :

-"En plus je ne regrette pas de l'avoir fait, car quand je me caresse le clito avec une huile de massage, les sensations sont décuplées sans le barrage des poils "

Je suis bouche bée et vite à l'étroit dans mon Jeans...

- "heu" bredouillais-je, tu me dit tout ça, mais tu as un copain et ..."

Elle m'interrompt et me lance :

- " C'est terminé avec Jean-Luc depuis trois semaines et c'est bien comme ça, en plus ça fait trois mois que je fantasme sur toi et j'ai envie de toi !"

Elle finit sa phrase en s'humectant les lèvres... Très excité et perturbé par sa franchise j'essaie de donner le change en reparlant de sa chatte rasée :

- Alors tu t'es rasé le pussy et ..."

-"Tu veux voir ?" m'interrompt-elle.

Avant que j'aie pu ouvrir la bouche, elle leva le doigt et demanda à la prof si elle pouvait aller aux toilettes et sortit de la classe. Tout seul devant mes bouquins et mon excitation naissante, j'avais du mal à croire ce que j'avais entendu. Je n'eus pas le temps de d'approfondir ma réflexion qu'elle revint s'assoir à coté de moi, le souffle court par un sprint. Je sens sa main gauche se poser sur ma cuisse droite et remonter vers ma bite pour y déposer quelque chose de léger ... je baisse le tête discrètement et vois sa petite culotte roulée en boule sur ma braguette déformée avec une érection douloureuse. Elle pousse un petit cri étouffé, contente de l'effet qu'elle produit, et me dit :

- "Alors tu veux voir ?"

Ne me laissant pas le temps de répondre, elle glissa une partie de sa robe légère discrètement vers le haut de ses cuisses  pour y dévoiler une chatte complètement imberbe avec un clito proéminent.

 J'avais du mal à avaler ma salive, avec quand même une crainte que l'on nous surprenne. Mais le reste de la classe était très absorbé par ses recherche, l'approche dans un mois et demi du bac renforçant la pression sur le travail des élèves.

- "Tu veux toucher ? Tu peux la caresser, elle ne te mordra pas, mais tu mets pas les doigts dedans d'accord ? " me murmura-t-elle

J'aurais été con de ne pas accepter. Je passai d'un seul coup gaucher avec mon stylo dans la main pour donner le change au cas où la prof regarderait vers nous, et penché sur un Atlas, j'observe dans le vide une carte détaillé des Atolls de l'ile de Bikini, et ma main droite part à la conquête de cette géographie féminine connue mais si différente des autres. Avant d'arriver à destination, ma main apprécie au passage la douceur de la peau de ses cuisses : bon bin y avait pas que la chatte qui avait subi la déforestation. Arrivé au mont de Vénus j'aurais pu siffler l'oeuvre de Moussorgski (Nuit sur mont chauve... croyez-moi, ayant lu ces quelques lignes, vous n'écouterez plus cette oeuvre de la même façon maintenant petit amis lecteurs / lectrices) tellement l'absence de poils laissait à nu les gosses lèvres ainsi qu'un clito  grossisant.

Virginie avait rabattu sa robe sur ma main et m'avait fait comprendre qu'il fallait consulter des ouvrages, donnant l'image de deux terminales travaillant d'arrache-pied pour avoir le bac.

Je pouvais maintenant plus facilement (tel qu'un aveugle découvrant de nouvelles textures) explorer cette intimité offerte sans retenue. Je prends son clito, le masse légèrement et le fais rouler entre l'index et le pouce, arrachant un petit gémissement étouffé de ma voisine.

J'aime voir son oeil devenir humide et se mordre la lèvre inférieure comme pour réprimer un spasme naissant. Je tenais Virginie à ma merci. J'aimais aussi la frustrer en arrêtant soudain mes caresses pour faire mime de me retirer : son grognement sourd et son mouvement du bassin vers ma main me montrait bien qu'elle n'était pas d'accord...Mais la sonnerie vint interrompre nos ébats et nous dûmes ranger nos affaires.

Le plus embettant dans les couloirs, c'était de cacher cette protubérance insistante dans mon jeans avec mon sac avec le fou rire  de Virginie derrière moi comprenant ma situation......

 

 

 

Par meschaudesannees.erog.fr - Publié dans : Les cours
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Mercredi 5 janvier 3 05 /01 /Jan 17:52

Au fond près du radiateur 

Ah le cours de math, j'adorais ... pas la matière mais la salle. 

Savez ce genre de vielle salle de classe toute en longueur éclairée par une rangée de néons dont les 3/4 ne fonctionnaient jamais ! Et même des fois un à l'agonie se mettait à clignoter comme pour nous envoyer un ultime "au-secours" avant de rendre l'âme quelques heures plus tard.

C'était génial, les néons survivants était maintenus en état vers le tableau noir afin que par contraste l'on puisse suivre le cours sans trop de difficultés comme dans une salle de spectacle. Le fond de la classe les jours d'hivers et en fin de journée n'était quasiment plus éclairé que par le halo jaunâtre de la source lumineuse de devant... 

Le radiateur

Je dois avouer que le radiateur était bien calculé de ma part (énorme contraste par rapport à mes copies bourrées d'erreur de calculs)... Tout le lycée était alimenté par une très vieille chaudière au fioul et qui se démenait comme elle pouvait pour nous donner un peu de chaleur dans les classes. Seulement le problème dans le salles, c'était que ces vieux radiateurs en fonte avaient leur bouchon de réglage complètement bloqué et sur la position MAX. Additionné par la chaleur de notre propre souffle, l'atmosphère devenait rapidement suffocante, nous obligeant à enlever un pull plutôt que d'ouvrir la fenêtre et d'affronter un -15 degrés avec vent d'hiver dans le Nord...

      Maeva 

C'était ma voisine de table en cours de math (les places avaient été déterminées au début de l'année et restées fixe afin d'aider le prof à se souvenir de nous le plus rapidement possible) et avait le même âge que moi.

Cela faisait plusieurs mois que l'on se tripotait pendant le cours, mais le radiateur, ce jour là et les scéances suivantes, accéléra nos ébats.

Dans son regard il y avait un petit quelque chose de vicieux comme si elle nous jugeait gravuleusement sur notre potentiel sexuel et libertin. Une fille brune typée, méditaranéenne, avec un petit "cheveu sur la langue", ce qui m'excitait quand elle me parlait... 

Elle était souvent en longue jupe et chemisier, elle se parfumait souvent et sentait bon la vanille. Bref quand je l'embrassais, j'avais souvent l'impression de goûter des nouveaux produits Danone sauf que là l'effet escompté était inversé : j'avais de plus en plus d'appétit sexuel...

      Début du cours

Avec la haine... sauf pour moi ; ) ... la classe s'installa et écouta le prof nous donner un premier théorème : 

- Soit un triangle ABC, et deux points D et E des droites (AB) et (AC) de sorte que la droite (DE) .....

J'avais déjà décroché et ma main quitta mon stylo pour plonger entre les cuisses de ma voisine. A demi surprise par cet index fureteur à la recherche de la grotte magique, elle m'aida en écartant les cuisses. Le prof continuait de noircir le tableau dans tout les sens à tel point que l'on ne savait même plus ou il avait commencé.

      Déjà mon doigt effectuait un long mouvement circulaire sur sa motte et je sentais sa petite culotte de coton s'imbiber de liqueur féminine chaude et odorante. L'ambiance était surréaliste : j'étais d'un seul coup devenu ambidextre, tenant mon stylo de la main gauche et fourrageant allègrement dans la chatte de Maeva, qui pour ne pas attirer l'attention sur son plaisir naissant, plongeait la tête dans sa feuille et ses bouquins tout en ondulant du bassin, son souffle rauque trahissant un orgasme imminent était largement supplanté par la voix haute et forte de notre prof de math qui commençait à avoir du mal à trouver de la place sur le tableau (va t-il finir sur le mur ?)

La maman de Maeva est Hotesse de l'air et quand elle rentre des voyages, elle donne pleins de petites choses que l'on offre aux voyageurs. Gobelet en plastique, bonbons, petits sacs, etc... et surtout des petites lingettes à base d'une solution alcoolisée pour se désinfecter les mains avant de manger. 

Quand Maeva me sortait cette petite lingette dans son emballage de plastique, ma bitte comprenait plus vite que moi et se mettait à gonfler, distendant ce pauvre pantalon de toile (bin à se moment là, fallait pas que le proviseur passe et que l'on soit obligé de se mettre debout...)

Bref si elle me donnait ces petites solutions désinfectantes, c'est qu'elle ne voulait plus de barrage entre mes 2 doigts et sa chatte. Après avoir désinfecté mes doigts, je fis glisser la culotte imbibée sur le côté et enfonçai le majeur et l'index dans sa chatte gluante en un long mouvement de va et vient. Des petits bruits de clapotis sortaient de ce volcan, toujours largement supplanté par la narration du prof de math qui arrivait à la fin de sa démonstration (tiens, il a fini sur le mur...)

Si le prof de math jetait un regard dans notre direction, il ne voyait que 2 élèves bien sages mais fainéants, tentant de comprendre les 30 minutes de démonstration de son théorème...

Par contre s'il avait été derrière nous, il aurait vu une  nymphomane les cuisses écartées en train de se faire doigter allègrement la chatte dans un clapotis discret au milieu d'effluves marines...

L'orgasme vint et elle se mordit les lèvres pour ne pas crier, ses cuisses étaient animées de tremblements et je sentais son vagin se contracter sur mes doigts inondés de cyprine.

Après quelques minutes d'absence, toujours le nez plongé dans ses cahiers, elle redressa la tête pour me lancer un regard qui me fit frémir de joie. Sa main s'avançait doucement sur mon chimbre bien tendu au bord de l'explosion pour en imprimer en lent va-et-vient à travers le pantalon, puis ... Coupure de courant dans tout le quartier !

      La demande en cette froide fin de journée d'hiver était telle, que la centrale électrique du secteur disjoncta et on se retrouva dans le noir. Le prof nous ordonna de ne pas bouger ni d'essayer de sortir dans la cour pour éviter toute bousculade dans les escaliers, pouvant occasionner des accidents. 

Certains s'amusaient à déclencher le rétro allumage de leur montre, d'autres allumaient leurs game-boys mais sans pour autant remplacer heureusement la puissance des néons de la salle. Je dit heureusement, car Maeva n'avait pas perdu de temps, et avait libéré ma bitte de mon pantalon qui se dressa bien droite sous la table de notre bureau. Elle me branla savamment.

Le vent s'était renforcé, et sifflait dans les micro fentes et joints usés de l'huisserie centenaire de la salle de classe, des petits malins en profitaient pour faire peur à leur voisine en proférant des Hou Hou à tout va...

Maeva, même si elle l'avait voulu, n'aurait pas pu lancer ces beuglements, car la main avait été remplacée par sa bouche pulpeuse et me pompait avec avidité le dard, dont le bruit de succion était couvert par le bruit de la tempête qui s'intensifiait. 

Elle savait y faire, la garce, j'avais vraiment l'impression que tout mon corps allait y passer tellement l'aspiration était bonne. 

Le prof en profita pour lancer une petite question :

- Tiens, comment feriez-vous pour calculer la vitesse du vent ?

Le réponses et le brouhahas me permirent de laisser échapper quelques grognements de satisfaction suite à l'accélération du va-et-vient qu'exécutait ma voisine avec application. Sentant l'orgasme approcher, je me penchai vers elle et la prévint, je n'eu que pour réponse qu'une accélération soudaine  tout en l'enfonçant plus profondément au fond de sa gorge, je ne tint plus et je vidais mes couilles dans de longs jet puissants dont ma suceuse s'appliqua à avaler jusqu'à la dernière goutte... Ma main tapota doucement  sur ses fesses comme pour la remercier, elle me suça encore comme pour être sure qu'il ne resterait plus une seule goutte, et se releva. Je me réajustai, elle fit de même puis quelques minutes plus tard vint le proviseur avec une lampe de poche pour nous avertir que les cours étaient annulés en cette fin de journée à cause de la panne de courant, ne permettant plus d'enseigner dans des conditions acceptables.

      On rangea nos affaires et le suivîmes dans les méandres des couloirs jusqu'à la sortie éclairé par la faible faisceau lumineux de sa lampe torche. Maeva et moi, on se fit un rapide clin d'oeil et nous prîmes nos bus respectifs.

 

Je n'avais jamais eu un cours de Math aussi intense et savoureux, je me sentais léger et vibrant d'avoir eu ces ébats au nez et à la barbe de tous (avec la complicité malheureuse d'EDF...)

Par meschaudesannees.erog.fr - Publié dans : Les cours
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