Pianiste de formation, c'est naturellement que je fus sollicité par mon prof de musique pour animer la choral du lycée. Une formation d'une quinzaine de jeunes filles de mon âge prêtes à pousser les vocalises sur des oeuvres sacrées.
Dans la formation j'ai remarqué tout de suite Aurélie qui se détachait du groupe par de petites ondulations du bassin quand elle chantait. De plus sa tenue m'excitait, habillée en pantalon de cuir super moulant et une veste de la même matière et perchée sur des haut talons noirs.
Le groupe est dirigé par madame Rochenbon, une bonne grosse dame habillée en longue robe rouge et dirigeant d'une main légère la répétition du magnificat de Bach. C'est à ce moment là que j'entre pour me présenter :
- Bonjour je suis le nouveau pianiste en remplacement de monsieur Duyriez parti à la retraite le mois dernier...
Madame Rochenbon s'arrête et fait taire son Coeur pour me fusiller du regard en maugréant :
- "Première chose à savoir jeune homme on n'interrompt pas une chorale qui répète, intallez-vous près de l'orgue et attendez que l'on finisse SVP"
Hum la première prise de contact ne commençait pas de la meilleure façon, et tandis que le groupe reprend son travail à la mesure 34, je me dirige vers l'orgue et m'installe sur le banc. Par malchance il était déjà allumé et quand je me suis installé dessus mon pied a appuyé sur une basse du pédalier envoyant un miiiiiiiiiiiiiiiiiiiii grave dans toute la chapelle.
Là, la chef de coeur me fusille du regard et reprend pour la deuxième fois à la mesure 34 du morceau. Pendant cette reprise Aurélie se retourne pour m'envoyer un petit sourire contrastant avec les ricanement de ses consoeurs qui se foutaient ouvertement de ma maladresse. Je lui rends son sourire et plonge mon regard dans la pile de partitions laissée par mon prédécesseur avec un petit mot placé au-dessus : "Bon courage !"
La Chapelle date de 1910, et à l'époque les architectes avaient vu grand pour cette bâtisse, car elle pouvait contenir une centaine de personnes facilement, le seul problème c'était l'écho et je n'avais pas l'habitude de jouer un peu en avance pour que le groupe vocal que j'accompagne et qui se trouve près de l'autel, puisse être calé sur la musique. Donc, le temps que je m'habitue à cette pratique, la chef de coeur décida qu'elle ferait ses premières répétitions près de moi avec son groupe.
Et me voilà entouré d'une quinzaines de jeunes filles, jolies et parfumées, dévoilant leur organe autour de moi : j'étais aux anges. Comme Aurélie était la plus grande du groupe elle fut mise en arrière à gauche de l'orgue. Monsieur Duvriez m'avait laissé des tonnes de patitions qui s'empilaient de façon instable autour de l'instrument, mais comme la chaire ne faisait pas plus de cinquante mètres carrés, il avait tout entreposé à gauche du clavier. Les plus hautes piles de partitions s'appuyaient le long de l'orgue, m'offrant la vision de longues colonnes de papiers tenant debout comme par miracle (normal non ?) en équilibre instable. Il n'y avait qu'un seul accéès pour ce clavier et c'était par les aigus, par le côté opposé c'était à nos risques et périls.
On n'avait pas commencé depuis dix minutes que Monsieur le proviseur nous ramena deux jumelles ; Annie et Marjorie qui voulaient s'initier au chant elles aussi. Là ce n'était plus possible on devait faire de la place. Il fut décidé de pousser les piles de partitions un peu plus vers le fond afin de faire de la place à ces deux nouvelles arrivantes. Aurélie recula et se trouva à gauche de mon clavier. J'eus de nouveau un petit sourire accompagné d'un clin d'oeil, puis on recommença la répétition. Là j'avais une super vue sur la jolie croupe d'Aurélie, son pantalon moulait parfaitement le galbe de ses cuisses et l'on pouvait même voir la forme de sa chatte... j'étais aux anges !
Le choeur est composé de 3 voix en fonction de la tessiture des chanteuses et la répétition hebdomadaire était composée de deux étapes, la première tous ensemble, puis ensuite voix séparées. Madame Rochenbon commença à faire travailler les sopranos et je l'accompagnais de la main droite la première voix, pendant ce temps-là les autres restaient sur place et relisaient leur partition afin de parfaire leur parties mentalement.
Aurélie, au 3/4 cachée par l'énorme meuble de l'instrument et les piles de partitions, se rapprocha de moi, complètement oubliée par la chef de coeur concentrée à travailler avec les premiers rang, pour me sussurer à l'oreille :
- "Alors Maeva m'a raconté que pour un pianiste tu avait du doigté avec les filles ?"
Oups Maéva, ma voisine en cours de math avait craché le morceau. Elle n'avait pas résisté à raconter nos cochonneries à sa meilleure amie, et me voilà avec Aurélie qui rajoute :
- "Moi je ne la crois pas, je suis sure qu'elle se vante... je ne crois que ce que je vois et ce que je ..... sens"
Toujours entrain d'accompagner les premières voix à la main droite, je dirige ma main gauche le long de sa cuisse gainée de cuir noir en y pianotant des doigts tout en remontant vers l'intérieur des cuisses. J'arrive à sa chatte comprimée par le pantalon, un peu déçu du peu de sensation éprouvées, mais mon imagination débridée m'aidant chercha l'entrée du vagin en y pointant un index fourrageur et raide. Elle se cambra légèrement et je vis ses joues rosir : elle aimait cela, la garce.Puis ce fut au tour des 3e voix et je dus à regret utiliser ma main gauche pour les accompagner. Le reste de la répétition se termina normalement, soulagé moi aussi car ces évènement m'avaient passablement excité et j'approuvais une grande fatigue.La sonnerie retentie, le groupe et Aurélie se dispersa dans la cours et chacun rentra en classe.
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