Jeudi 6 janvier 4 06 /01 /Jan 12:43

Ce cours pour rien au monde je le louperais. La première Madame Stawisky une trentenaire brune et élancée au visage fin et à la chevelure flamboyante, habillée souvent en tailleur Chanel et chemisier blanc qui cachait peu ses dessous affriolants de dentelles et de transparence. Bizarrement, c'est le cours qui compte le moins d'absence ... La deuxième c'est Virginie, une jeune fille d'un an de plus que moi ayant redoublé sa terminale. elle est très nature et bien dans ses baskets, et comme pour le cours de math, nous étions placés l'un à côté de l'autre...

Avec passion madame Stawisky nous enseignait cette matière avec nombreux détails et anecdotes qui nous aidaient à mieux retenir la leçon. Après son exposé, elle nous laissait chacun faire des recherches dans les bouquins en travaillant par binômes.

Après nous avoir donné les directives de recherche, elle nous laissa à notre travail en s'installant à son Bureau. Cette salle était équipée d'une estrade de cinquante centimètres de hauteur afin que ceux du fond puissent voir la prof pendant sa narration. 

Une simple table et une chaise y était entreposés pour le prof ainsi que son grand tableau noir derrière. Absorbée par son travail et rassurée par le doux brouhaha des futurs bacheliers travaillant sur le sujet, elle ne vit pas que deux boutons de son tailleur avaient sauté laissant apparaître le galbe d'une cuisse parfaite. Je reluquais depuis depuis quelques minutes ce délicieux spectacle quand elle décida à décroiser ses jambes, m'offrant un spectacle fugace d'un petit triangle blanc dans lequel se moulait une chatte parfaite. Mme Stawisky recroisa les jambes dans l'autre sens, me permettant d'admirer l'autre côté de sa superbe plastique.

Virginie me ramena à la réalité en me faisant remarquer que notre voisin d'en face s'était complètement rasé le crâne. Je lui fis remarquer que c'était moche, en plus le crâne était pourvu de petites coupures trahissant le passage d'un rasoir mal maitrisé ou très ancien. 

Je fit une grimace en murmurant :

- "C'est moche quand c'est tout rasé"

Virginie me rétorqua :

- "ça dépend quoi !"

me dit-elle avec un petit clin d'oeil. Je fut surpris par sa réponse pleine de sous-entendus, car depuis plus de six mois de cours d'histoire géo assis à côté d'elle, je n'avais rien tenté avec elle, respectant sa relation avec un élève de 2e année de BTS info.... hum... en plus, baraqué comme une armoire à glace. Mais elle enchaina en chuchotant :

-"En plus je ne regrette pas de l'avoir fait, car quand je me caresse le clito avec une huile de massage, les sensations sont décuplées sans le barrage des poils "

Je suis bouche bée et vite à l'étroit dans mon Jeans...

- "heu" bredouillais-je, tu me dit tout ça, mais tu as un copain et ..."

Elle m'interrompt et me lance :

- " C'est terminé avec Jean-Luc depuis trois semaines et c'est bien comme ça, en plus ça fait trois mois que je fantasme sur toi et j'ai envie de toi !"

Elle finit sa phrase en s'humectant les lèvres... Très excité et perturbé par sa franchise j'essaie de donner le change en reparlant de sa chatte rasée :

- Alors tu t'es rasé le pussy et ..."

-"Tu veux voir ?" m'interrompt-elle.

Avant que j'aie pu ouvrir la bouche, elle leva le doigt et demanda à la prof si elle pouvait aller aux toilettes et sortit de la classe. Tout seul devant mes bouquins et mon excitation naissante, j'avais du mal à croire ce que j'avais entendu. Je n'eus pas le temps de d'approfondir ma réflexion qu'elle revint s'assoir à coté de moi, le souffle court par un sprint. Je sens sa main gauche se poser sur ma cuisse droite et remonter vers ma bite pour y déposer quelque chose de léger ... je baisse le tête discrètement et vois sa petite culotte roulée en boule sur ma braguette déformée avec une érection douloureuse. Elle pousse un petit cri étouffé, contente de l'effet qu'elle produit, et me dit :

- "Alors tu veux voir ?"

Ne me laissant pas le temps de répondre, elle glissa une partie de sa robe légère discrètement vers le haut de ses cuisses  pour y dévoiler une chatte complètement imberbe avec un clito proéminent.

 J'avais du mal à avaler ma salive, avec quand même une crainte que l'on nous surprenne. Mais le reste de la classe était très absorbé par ses recherche, l'approche dans un mois et demi du bac renforçant la pression sur le travail des élèves.

- "Tu veux toucher ? Tu peux la caresser, elle ne te mordra pas, mais tu mets pas les doigts dedans d'accord ? " me murmura-t-elle

J'aurais été con de ne pas accepter. Je passai d'un seul coup gaucher avec mon stylo dans la main pour donner le change au cas où la prof regarderait vers nous, et penché sur un Atlas, j'observe dans le vide une carte détaillé des Atolls de l'ile de Bikini, et ma main droite part à la conquête de cette géographie féminine connue mais si différente des autres. Avant d'arriver à destination, ma main apprécie au passage la douceur de la peau de ses cuisses : bon bin y avait pas que la chatte qui avait subi la déforestation. Arrivé au mont de Vénus j'aurais pu siffler l'oeuvre de Moussorgski (Nuit sur mont chauve... croyez-moi, ayant lu ces quelques lignes, vous n'écouterez plus cette oeuvre de la même façon maintenant petit amis lecteurs / lectrices) tellement l'absence de poils laissait à nu les gosses lèvres ainsi qu'un clito  grossisant.

Virginie avait rabattu sa robe sur ma main et m'avait fait comprendre qu'il fallait consulter des ouvrages, donnant l'image de deux terminales travaillant d'arrache-pied pour avoir le bac.

Je pouvais maintenant plus facilement (tel qu'un aveugle découvrant de nouvelles textures) explorer cette intimité offerte sans retenue. Je prends son clito, le masse légèrement et le fais rouler entre l'index et le pouce, arrachant un petit gémissement étouffé de ma voisine.

J'aime voir son oeil devenir humide et se mordre la lèvre inférieure comme pour réprimer un spasme naissant. Je tenais Virginie à ma merci. J'aimais aussi la frustrer en arrêtant soudain mes caresses pour faire mime de me retirer : son grognement sourd et son mouvement du bassin vers ma main me montrait bien qu'elle n'était pas d'accord...Mais la sonnerie vint interrompre nos ébats et nous dûmes ranger nos affaires.

Le plus embettant dans les couloirs, c'était de cacher cette protubérance insistante dans mon jeans avec mon sac avec le fou rire  de Virginie derrière moi comprenant ma situation......

 

 

 

Par meschaudesannees.erog.fr - Publié dans : Les cours
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