Mercredi 5 janvier 3 05 /01 /Jan 17:52

Au fond près du radiateur 

Ah le cours de math, j'adorais ... pas la matière mais la salle. 

Savez ce genre de vielle salle de classe toute en longueur éclairée par une rangée de néons dont les 3/4 ne fonctionnaient jamais ! Et même des fois un à l'agonie se mettait à clignoter comme pour nous envoyer un ultime "au-secours" avant de rendre l'âme quelques heures plus tard.

C'était génial, les néons survivants était maintenus en état vers le tableau noir afin que par contraste l'on puisse suivre le cours sans trop de difficultés comme dans une salle de spectacle. Le fond de la classe les jours d'hivers et en fin de journée n'était quasiment plus éclairé que par le halo jaunâtre de la source lumineuse de devant... 

Le radiateur

Je dois avouer que le radiateur était bien calculé de ma part (énorme contraste par rapport à mes copies bourrées d'erreur de calculs)... Tout le lycée était alimenté par une très vieille chaudière au fioul et qui se démenait comme elle pouvait pour nous donner un peu de chaleur dans les classes. Seulement le problème dans le salles, c'était que ces vieux radiateurs en fonte avaient leur bouchon de réglage complètement bloqué et sur la position MAX. Additionné par la chaleur de notre propre souffle, l'atmosphère devenait rapidement suffocante, nous obligeant à enlever un pull plutôt que d'ouvrir la fenêtre et d'affronter un -15 degrés avec vent d'hiver dans le Nord...

      Maeva 

C'était ma voisine de table en cours de math (les places avaient été déterminées au début de l'année et restées fixe afin d'aider le prof à se souvenir de nous le plus rapidement possible) et avait le même âge que moi.

Cela faisait plusieurs mois que l'on se tripotait pendant le cours, mais le radiateur, ce jour là et les scéances suivantes, accéléra nos ébats.

Dans son regard il y avait un petit quelque chose de vicieux comme si elle nous jugeait gravuleusement sur notre potentiel sexuel et libertin. Une fille brune typée, méditaranéenne, avec un petit "cheveu sur la langue", ce qui m'excitait quand elle me parlait... 

Elle était souvent en longue jupe et chemisier, elle se parfumait souvent et sentait bon la vanille. Bref quand je l'embrassais, j'avais souvent l'impression de goûter des nouveaux produits Danone sauf que là l'effet escompté était inversé : j'avais de plus en plus d'appétit sexuel...

      Début du cours

Avec la haine... sauf pour moi ; ) ... la classe s'installa et écouta le prof nous donner un premier théorème : 

- Soit un triangle ABC, et deux points D et E des droites (AB) et (AC) de sorte que la droite (DE) .....

J'avais déjà décroché et ma main quitta mon stylo pour plonger entre les cuisses de ma voisine. A demi surprise par cet index fureteur à la recherche de la grotte magique, elle m'aida en écartant les cuisses. Le prof continuait de noircir le tableau dans tout les sens à tel point que l'on ne savait même plus ou il avait commencé.

      Déjà mon doigt effectuait un long mouvement circulaire sur sa motte et je sentais sa petite culotte de coton s'imbiber de liqueur féminine chaude et odorante. L'ambiance était surréaliste : j'étais d'un seul coup devenu ambidextre, tenant mon stylo de la main gauche et fourrageant allègrement dans la chatte de Maeva, qui pour ne pas attirer l'attention sur son plaisir naissant, plongeait la tête dans sa feuille et ses bouquins tout en ondulant du bassin, son souffle rauque trahissant un orgasme imminent était largement supplanté par la voix haute et forte de notre prof de math qui commençait à avoir du mal à trouver de la place sur le tableau (va t-il finir sur le mur ?)

La maman de Maeva est Hotesse de l'air et quand elle rentre des voyages, elle donne pleins de petites choses que l'on offre aux voyageurs. Gobelet en plastique, bonbons, petits sacs, etc... et surtout des petites lingettes à base d'une solution alcoolisée pour se désinfecter les mains avant de manger. 

Quand Maeva me sortait cette petite lingette dans son emballage de plastique, ma bitte comprenait plus vite que moi et se mettait à gonfler, distendant ce pauvre pantalon de toile (bin à se moment là, fallait pas que le proviseur passe et que l'on soit obligé de se mettre debout...)

Bref si elle me donnait ces petites solutions désinfectantes, c'est qu'elle ne voulait plus de barrage entre mes 2 doigts et sa chatte. Après avoir désinfecté mes doigts, je fis glisser la culotte imbibée sur le côté et enfonçai le majeur et l'index dans sa chatte gluante en un long mouvement de va et vient. Des petits bruits de clapotis sortaient de ce volcan, toujours largement supplanté par la narration du prof de math qui arrivait à la fin de sa démonstration (tiens, il a fini sur le mur...)

Si le prof de math jetait un regard dans notre direction, il ne voyait que 2 élèves bien sages mais fainéants, tentant de comprendre les 30 minutes de démonstration de son théorème...

Par contre s'il avait été derrière nous, il aurait vu une  nymphomane les cuisses écartées en train de se faire doigter allègrement la chatte dans un clapotis discret au milieu d'effluves marines...

L'orgasme vint et elle se mordit les lèvres pour ne pas crier, ses cuisses étaient animées de tremblements et je sentais son vagin se contracter sur mes doigts inondés de cyprine.

Après quelques minutes d'absence, toujours le nez plongé dans ses cahiers, elle redressa la tête pour me lancer un regard qui me fit frémir de joie. Sa main s'avançait doucement sur mon chimbre bien tendu au bord de l'explosion pour en imprimer en lent va-et-vient à travers le pantalon, puis ... Coupure de courant dans tout le quartier !

      La demande en cette froide fin de journée d'hiver était telle, que la centrale électrique du secteur disjoncta et on se retrouva dans le noir. Le prof nous ordonna de ne pas bouger ni d'essayer de sortir dans la cour pour éviter toute bousculade dans les escaliers, pouvant occasionner des accidents. 

Certains s'amusaient à déclencher le rétro allumage de leur montre, d'autres allumaient leurs game-boys mais sans pour autant remplacer heureusement la puissance des néons de la salle. Je dit heureusement, car Maeva n'avait pas perdu de temps, et avait libéré ma bitte de mon pantalon qui se dressa bien droite sous la table de notre bureau. Elle me branla savamment.

Le vent s'était renforcé, et sifflait dans les micro fentes et joints usés de l'huisserie centenaire de la salle de classe, des petits malins en profitaient pour faire peur à leur voisine en proférant des Hou Hou à tout va...

Maeva, même si elle l'avait voulu, n'aurait pas pu lancer ces beuglements, car la main avait été remplacée par sa bouche pulpeuse et me pompait avec avidité le dard, dont le bruit de succion était couvert par le bruit de la tempête qui s'intensifiait. 

Elle savait y faire, la garce, j'avais vraiment l'impression que tout mon corps allait y passer tellement l'aspiration était bonne. 

Le prof en profita pour lancer une petite question :

- Tiens, comment feriez-vous pour calculer la vitesse du vent ?

Le réponses et le brouhahas me permirent de laisser échapper quelques grognements de satisfaction suite à l'accélération du va-et-vient qu'exécutait ma voisine avec application. Sentant l'orgasme approcher, je me penchai vers elle et la prévint, je n'eu que pour réponse qu'une accélération soudaine  tout en l'enfonçant plus profondément au fond de sa gorge, je ne tint plus et je vidais mes couilles dans de longs jet puissants dont ma suceuse s'appliqua à avaler jusqu'à la dernière goutte... Ma main tapota doucement  sur ses fesses comme pour la remercier, elle me suça encore comme pour être sure qu'il ne resterait plus une seule goutte, et se releva. Je me réajustai, elle fit de même puis quelques minutes plus tard vint le proviseur avec une lampe de poche pour nous avertir que les cours étaient annulés en cette fin de journée à cause de la panne de courant, ne permettant plus d'enseigner dans des conditions acceptables.

      On rangea nos affaires et le suivîmes dans les méandres des couloirs jusqu'à la sortie éclairé par la faible faisceau lumineux de sa lampe torche. Maeva et moi, on se fit un rapide clin d'oeil et nous prîmes nos bus respectifs.

 

Je n'avais jamais eu un cours de Math aussi intense et savoureux, je me sentais léger et vibrant d'avoir eu ces ébats au nez et à la barbe de tous (avec la complicité malheureuse d'EDF...)

Par meschaudesannees.erog.fr - Publié dans : Les cours
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